*une lettre abandonné sur le sol de la taverne attendait d'etre lut par quiconque la trouverait* À mon Noble Héros,
Voila maintenant nombres de jours que je te connais.
Les coleres des gens sont parfois mur de leur réels sentiment.
En quelque sorte, un mirroir déformant.
Noble Héros, tu comptes bien plus pour moi que tu ne le crois.
La solitude nous avons fait de nos vies.
Mais jamais fut la destiné des etres vivants.
Lorsque je ne te sais pres de moi.
Mon coeur souffre.
Lorsque je te sais pres de moi
Mon coeur sourit.
Mes gestes mentent.
Ma tete agi sans compter mes sentiments.
Jamais le mal commis ne fut voulu.
Le regret ne cesse de me hanter.
Ma vie de solitude semble s'ancrer.
Ma tete agi seule.
Mon coeur subit.
La solitude s'ancre.
Ô noble héros. Je 'taime.
*Quelque endroit de la lettre étaient mouillés et l'on devinait des larmes*